Les mensonges des promoteurs éoliens

5 Fév, 2024Communication1 commentaire

 

Cette vidéo nous montre Maxime Planque, responsable de projet pour EDF Renouvelables nous énoncer 1 à 1 tous les mensonges que la filière industrielle met en avant pour imposer son diktat.

 

NON M. Planque la zone au large de #Dunkerque n’est pas la meilleure en terme de statistiques de vent. Avec une orientation de vent majoritairement Sud-Ouest sur la région, c’est la zone au large du #Touquet qui est la meilleure pour capter le vent.
 
 
NON M. Planque, un projet comme celui-là ne va pas fournir en électricité 1 million d’habitants. En effet, les éoliennes ne fonctionnent jamais à leur puissance maximale et leur taux de charge est en moyenne de 30%. Elles fournissent une électricité intermittente avec une production aléatoire et, qui nécessite une centrale au gaz ou au charbon en complément. Elles fournissent de l’électricité le plus souvent quand les Français n’en ont pas besoin. Il y a alors surproduction et revente sur les marchés européens à des prix bradés, alors que la filière est hyper subventionnée. L’électricité ne choisit pas son chemin. Elle peut être distribuée chez des particuliers, des entreprises ou revendue à l’étranger.
 
 
NON M. Planque, vos mesures de rehausser légèrement la hauteur des pales et de mettre en place des groupes d’observation pour « éventuellement » arrêter les éoliennes, ne vont pas limiter les impacts. Vous savez pertinemment que l’argent est plus fort que la biodiversité et qu’il n’y aura pas d’arrêt des éoliennes, surtout si elles peuvent produire quand il y a du vent, à savoir 38% du temps. Preuve en est, vous avez demandé l’autorisation de destruction de plus de 30 espèces protégées dans une zone protégée !
 
 
NON M. Planque, en 🇨🇵, l’implantation d’un site industriel éolien en mer ne contribue pas à lutter contre le réchauffement climatique. C’est même le contraire en 🇨🇵 ! Les éoliennes – 15 gCO2 – émettent plus de CO2 que les centrales nucléaires – 4 gCO2 – déjà présentes et pilotables. Les éoliennes, intermittentes, ne produisent en moyenne que 38% du temps et il faut des centrales au gaz – 418 gCO2 – ou au charbon – 1058 gCO2 – pour compenser, car le nucléaire est moins souple. De plus, les éoliennes dépendent des énergies fossiles pour l’extraction des matières premières, pour fabriquer les produits finis, pour les transporter, ainsi que pour leur maintenance et leur démantèlement. Alors oui les éoliennes peuvent contribuer à lutter contre le réchauffement climatique dans des pays n’ayant que des centrales au gaz ou au charbon comme principale source d’énergie pilotable, mais en France NON !
 
 
NON M. Planque, l’électricité éolienne n’est pas une énergie compétitive, même à 44 € car le projet de Dunkerque est subventionné à plus de 100% par les contribuables Français (subvention de 2 milliard pour un projet à 1,4 milliard). Les Français payent 2 fois la facture ! Le territoire et la 🇨🇵 n’ont pas besoin de sites industriels éolien car nous sommes déjà les champions du monde avec notre production électrique décarbonée, due à notre parc nucléaire. Si autant d’entreprises viennent s’implanter c’est pour la proximité de la centrale nucléaire de #Gravelines et pas un hypothétique site industriel éolien en mer à la production aléatoire et anecdotique.
 
 
NON M. Planque ce projet ne répond pas aux enjeux d’indépendance énergétique de notre pays, car la filière éolienne est très peu développée en 🇨🇵. Et la Chine 🇨🇳 s’impose de plus en plus comme un acteur majeur de cette filière pour l’extraction des matières premières et la fabrication des éoliennes.